il faut avoir vu de ses propres yeux les dégâts d'une marée noire pour réellement prendre conscience de la catastrophe qu'elle engendre pour la nature. Nul doute que les pauvres riverains de cette nouvelle inconscience humaine n'ont pas fini d'en chier des boulettes.
5 commentaires:
il faut avoir vu de ses propres yeux les dégâts d'une marée noire pour réellement prendre conscience de la catastrophe qu'elle engendre pour la nature. Nul doute que les pauvres riverains de cette nouvelle inconscience humaine n'ont pas fini d'en chier des boulettes.
Des boulettes de l'Amoco Cadiz, on en trouve encore!!!
Tandis que les macareux moines sont de plus en plus difficiles à trouver.
mais bon, les moines ne se reproduisent pas !
Ah? C'est pourtant pas faute d'essayer.
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